Résumé d'une semaine vendeuse du concept aupairien
C'est que dimanche dernier, j'emmenageais avec ma quatrième famille. J'commence à connaître le truc. Mais dans celle-là, ça devait être différent: un petit bébé et donc pas d'enfants marchant, parlant, crachant, s'aggripant à tes épaules, tes cheveux, et avançant une bouche baveuse pour "un bisou". Le coup du "nous ne vivrons que tous les trois sans petits monstres intérmédiaires pour faire la conversation à table par exemple" aurait pu facilement tourner au cauchemar, surtout avec moi dans l'un des rôles principaux. Mais qui l'eut-cru, c'est tout à fait le contraire.
C'est à la limite du paradis en fait.
Une semaine de cohabitation, et je dois presque avouer que c'est ma famille préférée. Et je dois ajouter "ma maison" préférée. Parce que franchement les gars, même si le jardin est ridicule, le reste est...ralala. Sans mot.
Comment j'ai pu tenir dans l'autre famille de nfchiefhiezjf fjzrehifhzif jnfip fezfhiozjfp (un peu de censure...). J'l'avais pourtant su dès les premiers jours que ça allait pas le faire entre eux et moi. Mais bon... j'avais décidé de faire des efforts. Finalement, je ferai bien d'obéir à mon instinct. La première impression... c'est la première impression quoi.
Je suis libérée. Vraiment. VRAIMENT. J'saurais pas vous expliquer pourquoi ni comment, mais c'est comme ça.
Alors bien sûr, je trouverai toujours de quoi râler (ben faut pas déconner quand même, j'ai dit "la limite du paradis), mais pour l'instant, j'en ai même pas envie.
PS: et oui, je sais, ça n'avait rien d'un "résumé de semaine"...